Why AI Haters Are Losing the Battle - Jack Righteous

Pourquoi les ennemis de l'IA perdent la bataille

Gary Whittaker
Les gens qui détestent l’IA sont-ils des perdants ?

Les gens qui détestent l’IA sont-ils des perdants ?

La réponse pourrait vous surprendre : oui. Mais pas au sens littéral du terme, mais plutôt à la définition même du mot « perdant ». Ceux qui s'opposent farouchement à l'IA se livrent à une bataille digne de Don Quichotte, poursuivant les moulins à vent de leur propre imagination tout en essayant de restreindre l'expression et la créativité des autres sans raison valable. Ils ressemblent aux fans inconditionnels du Betamax d'autrefois, s'accrochant à un format voué à l'insignifiance.

Leur opposition découle de la croyance erronée qu'ils défendent la créativité humaine, alors qu'ils omettent de reconnaître cette même créativité humaine qui alimente le contenu généré par l'IA. Ce faisant, ils perdent le contact avec une tendance technologique qui est vouée à perdurer. Comme tout mouvement puritain, ils peuvent toujours choisir de s'immerger dans une musique entièrement produite par des humains, issue d'un vivier de créateurs de plus en plus restreint. Mais la plupart finiront par adopter cette nouvelle normalité, tandis que les autres disparaîtront dans l'oubli.

Pourquoi détester l'IA est une bataille perdue

1. La résistance au changement est historiquement une stratégie perdante

Le progrès technologique a toujours rencontré des résistances. À l'apparition de la photographie, les peintres craignaient qu'elle ne porte atteinte à leur art. À l'apparition des synthétiseurs, les musiciens traditionnels les ont qualifiés de menace pour la « vraie » musique. Le constat est clair : l'innovation rencontre souvent l'hostilité, mais elle finit par l'emporter. L'IA ne fait pas exception.

  • Parallèle historique : Les Luddites de la Révolution industrielle ont détruit des machines qui, selon eux, leur voleraient leur emploi. Aujourd'hui, ils ne sont plus qu'une simple anecdote historique, tandis que la technologie a transformé le monde. Les opposants à l'IA risquent de subir le même sort.
  • L'adaptabilité, moteur du progrès : Tout comme les précédentes évolutions technologiques ont permis l'émergence d'outils plus inclusifs (par exemple, la synthèse vocale et le braille), l'IA comble les lacunes pour les personnes handicapées. S'opposer à l'IA revient à ignorer son rôle dans la promotion de l'accessibilité.

2. Méconnaissance de la nature de la créativité de l'IA

Les critiques affirment souvent que le contenu généré par l'IA manque d'authenticité ou d'âme. Ce qu'ils oublient, c'est que les outils d'IA sont créés, pilotés et perfectionnés par des humains. L'IA n'agit pas de manière autonome ; elle exécute la vision et les paramètres définis par ses créateurs.

  • La créativité humaine au cœur : derrière chaque chanson, peinture ou histoire générée par l'IA, il y a un artiste humain qui façonne sa production.
  • Donner du pouvoir aux personnes défavorisées : les outils d’IA permettent aux personnes souffrant de handicaps physiques ou cognitifs de participer à la créativité, permettant ainsi une expression artistique auparavant hors de portée.

3. Une technologie qui est là pour rester

L'IA n'est pas une tendance passagère ; elle devient un outil fondamental dans tous les secteurs. De la santé au divertissement, l'IA révolutionne les processus et les possibilités. La musique et l'art ne font pas exception.

  • L'adoption est en pleine croissance : des plateformes comme Spotify, YouTube et SoundCloud regorgent de musique assistée par l'IA, et le public l'adopte.
  • Améliorer l’accessibilité : l’IA aide les créateurs handicapés à accéder à des outils qui uniformisent les règles du jeu, rendant la créativité plus inclusive.

L'ironie de l'opposition

Le plus ironique dans ce sentiment anti-IA, c'est qu'il émane souvent de personnes qui dépendent quotidiennement de la technologie. Les plateformes de réseaux sociaux, les smartphones et les services de streaming utilisent tous l'IA, et pourtant ces critiques ne les boycottent pas. Leur indignation sélective souligne l'incohérence de leur position. Pire encore, leur opposition priverait d'outils ceux qui dépendent de l'IA pour leur accessibilité, comme les créateurs malvoyants ou neurodivergents.

Perspective personnelle : hypocrisie et extrémisme

En tant que personne qui promeut activement du contenu issu de l'IA sur mon site web et qui interagit avec les gens sur les réseaux sociaux, notamment Reddit (au grand détriment de mon karma), j'ai pu constater de visu l'hypocrisie de certains opposants. Il est frustrant de voir des individus appeler à la criminalisation des plateformes LLM et de ceux qui en profitent. Cette idée est totalement absurde.

La réalité est que les grands acteurs de l'industrie musicale, y compris les maisons de disques, rivalisent pour obtenir l'exclusivité des LLM plutôt que d'en partager l'accès avec le public. La musique a toujours évolué, des rythmes de l'Antiquité aux morceaux actuels générés par l'IA. Les individus, semblables à des Scrooge, qui tentent de bloquer cette évolution s'exposent à une déception perpétuelle, perdant constamment la « vie musicale ». Ces critiques ignorent comment restreindre ces technologies pourrait entraver l'accessibilité et l'inclusion des groupes marginalisés.

Que nous réserve l’avenir ?

Les détracteurs de l'IA sont confrontés à deux choix : s'adapter ou devenir obsolètes. Comme pour toute avancée technologique, toute résistance est vaine à long terme. Tout comme l'électricité, les automobiles et Internet ont autrefois fait peur, le scepticisme envers l'IA s'estompera à mesure que ses avantages deviendront indéniables.

  • Une renaissance créative : les artistes qui adoptent l’IA mèneront une nouvelle vague d’innovation, créant des œuvres auparavant inimaginables.
  • Acceptation culturelle : À mesure que les outils d’IA deviennent plus accessibles, la distinction entre art « créé par l’IA » et art « créé par l’homme » s’estompe. À terme, le public privilégiera l’impact émotionnel et intellectuel de l’œuvre à ses origines.

Conclusion

S'opposer à l'IA n'est pas seulement une bataille perdue d'avance ; c'est refuser de s'engager dans l'avenir. Loin de détruire la créativité, l'IA est un outil qui la développe, offrant aux artistes de nouvelles possibilités d'expression. Les vrais perdants sont ceux qui s'accrochent à des idées dépassées, ignorant les opportunités offertes par cette technologie. Pour le reste d'entre nous, l'avenir de la créativité n'a jamais été aussi prometteur.

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11 commentaires

The opposition to AI is of a different type than ever before, mainly because of the reckless, irresponsible, and callous disregard of AI proponents for the welfare of their fellow human beings. Nobody is discussing what the consequences of people losing jobs and their abilities to sustain a livelihood will be. Such massive job losses will cause economic disruptions, social unrest, and political revolts. People who champion AI do not think.this is important, but when people struggle to survive at even a subsistence level, they are not going to be quiet about it, like AI promoters want them to be. Whether they like it or not, AI supporters and creators are going to have to deal with the consequences of their decisions. They can call replacing human workers with AI efficient all they want, but that dies not make it so. The microeconomic efficiencies of firms who are obsessed with cutting labor costs at any price will be canceled out by the fat greater macroeconomic inefficiencies wrought by their “bright” ideas and manic obsessions with firing people, as part of the current crazy anti-worker hysteria. Those macroeconomic inefficiencies are massive unemployment, underemployment, rising poverty, crime, and destitute and homeless people. The folks who wrought this damage will gave to answer for and deal with it, whether they want to or not. People stripped of their human dignity and purpose for living as well as robbed of being able to prosper through work will not be silenced by AI and their irrational advocates.

Kevin McMicken

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